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Qu'est-ce qui tourne en ce moment et les saisons prochaines ?
Ados - adultes :
- Tant que nos coeurs flamboient, texte & mise en scène Laurent Contamin > plus
- Le jeune Homme Paul, d'après Paul Claudel, mise en scène Lorena Felei > plus
- En attendant Dersou, texte Laurent Contamin, mise en scène Lorena Felei > plus
- Sweet Summer Sweat, Cie BB&BB, mise en scène Christophe Toublanc
- Juby, d'après Antoine de St Exupéry, mise en scène Laurent Contamin > plus
- En pure Perte, d'après Kleist, Rilke, Büchner > plus
- Nicolette et Aucassin, histoire d'amour (en mieux), L'Atelier mobile > plus
- Cantique aquatique , mise en scène Marja Nykänen > plus
- Le Jardin, théâtre musical, texte Laurent Contamin, mise en scène Laure Gouget, Cie Cela Dit / Ensemble Almaviva > plus
- Fasse le ciel que nous devenions des enfants, texte Laurent Contamin, mise en scène Delphine Lalizout > plus
Jeune public :
- Le Parfum d'Edmond, texte Laurent Contamin, mise en scène Bénédicte Guichardon, Cie Baba Sifon > plus
- Le Soleil de Moses, texte Laurent Contamin, lecture-spectacle proposée par l'auteur et les étudiants du CRR d'Amiens
- Léon l'Enfant Noël, texte Laurent Contamin, mise en scène Lorena Felei, Cie Souffle 14 > plus
- Signé Kiko (dans les classes de cycle 2) > plus
- Les Murmures de Haute-Claire (dans les classes de cycle 3) > plus
- Le Jardin, mise en scène Elena Bosco, Cie La Robe à l'Envers > plus
En projet / recherche de production :
- Un Verger pour Mémoire > projet porté par Olivier David et Delphine Lalizout, création à Paris en février 2024
- Sweet Summer Sweat, Cie Cela Dit, mise en scène Laure Gouget > en savoir plus
- Lumingu, Cie Elikya, mise en scène Hubert Mahéla
Grande question qui se pose, dans le spectacle Signé Kiko : Annick a perdu le sourire. Mais pourquoi ? Des élèves de CP-CE1 de l'école de Brichebay de Senlis (60) ont planché sur la question après avoir vu le spectacle. Merci à leur enseignante d'avoir recueilli leurs idées ! Voici leurs réponses :
Propositions des CP :
- Annick est triste parce qu’elle trouve qu’en octobre le jardin n’est pas beau. (Soann)
- Annick est triste parce qu’elle est seule. (Nina)
- Vincent ne lui a pas fait de cadeau. (Noah)
- Annick est triste parce qu’elle s’ennuie ou parce que les arbres ont perdu leurs feuilles. (Mathéa)
- Annick est triste parce qu’elle est toute seule. (James)
Propositions des CE1 :
- Annick est triste parce que le jardin est laid. (Leina)
- Annick est triste car elle a peur que Vincent ne l’aime pas. (Cali)
- Annick est triste car les animaux et Vincent sont partis. Il n’y a plus personne. (Aurelia)
- Annick est triste car Vincent lui a dit qu’il va y avoir de la brume. (Josselin)
- Annick est triste car elle voit les fleurs faner et les feuilles tomber. (Oscar)
- Annick est triste parce qu’elle croit que Vincent ne l’aime pas. (Thibault)
- Annick est triste car elle pense que Vincent n’est pas amoureux d’elle. (Yann)
- Annick est triste parce que quelqu’un lui a dit des choses méchantes. (Hugo)
- Annick est triste parce qu’elle est amoureuse de Vincent et elle ne sait pas comment le dire. (Manon)
- Annick est triste parce qu’elle est toute seule. (Audren)
- Annick est triste parce qu’elle a peur que Vincent ne fasse pas attention à elle. (Garance)- Annick est triste parce que tout le monde a oublié tous ses anniversaires ! (Jules)
- Annick est triste parce que quelqu’un lui a dit quelque chose de méchant. (Thibault)
- Annick est triste parce qu’elle se sent seule. Elle avait besoin d’un amoureux pour la réconforter. (Florian)
- Annick est triste car elle a besoin de dire à quelqu’un qu’elle est amoureuse de Vincent. Voilà, elle se sent mal de garder le secret. Mais, elle ne sait pas que Vincent l’aime bien aussi. En fait ils s’aiment beaucoup. Ce sont des amis qui sont devenus amoureux. (Hayden)
Le projet d'année : il s'agit de faire découvrir, de faciliter, d'accompagner, la lecture du texte de théâtre contemporain pour les jeunes générations.
Les rencontres furent enrichissantes : les jeunes avaient préparé parfois des lectures de leur extrait favori du livre, qu'ils ont lu par petits groupes ou par binômes. Ils avaient également préparé des questions autour de la genèse de la pièce, sur les personnages, les lieux, les sources d'inspiration, l'écriture...
Pour certaines classes, la créativité a été jusqu'à proposer un petit spectacle : les collégiens s'étaient disposés en cercle autour d'une chaise pivotante sur laquelle j'étais assis, et donnaient à entendre des bribes du livre : un mot, une phrase, une expression qui les avaient marqués...Moi, au centre, tournant autour de mon axe, j'avais l'impression d'être en train d'écrire la pièce, avec mes personnages autour de moi qui me soufflaient leurs répliques !
Des dessins, aussi, pour illustrer le livre... Des listes de titres possibles, des portraits chinois, d'autres textes de 4ème de couverture, une suite de l'histoire pourquoi pas... Le livre a été une porte d'entrée qui a ouvert sur plein d'idées.
Il y eut aussi de très beaux abécédaires, des projections de photos, car Au Jour naissant interroge le monde et est l'occasion de se renseigner sur l'actualité, à la manière d'un journaliste... On a aussi entendu un magnifique chant Afar...Bref, ce furent de belles découvertes. Merci à la Ligue de l'Enseignement du Cher, aux élèves, et à toutes les équipes pédagogiques impliquées dans ce projet !
Retrouvons-nous le samedi 29 mai à 19h et le dimanche 30 mai à 15h. La Grange, 2 rue Oger le Danois, Trumilly. Durée 1 heure. Attention, jauge à 35%, donc réservation obligatoire :
06 74 49 38 80 ou atelierdesarts.weebly.com
Tarifs : 15 euros, 12 euros.
DERNIERE MINUTE : COMPLET - COMPLET - COMPLET
Ce quatrième mur a fait florès, même si au XXème siècle, le dramaturge Bertolt Brecht craint une réception trop confortable de la représentation par le spectateur, et en appelle à une certaine "distanciation", pour éviter toute manipulation du public. On lui rappelle régulièrement qu'il est au théâtre et qu'il ne doit pas prendre ce à quoi il assiste pour argent comptant.
Au XXIème siècle apparaît le théâtre dit "immersif" : cette fois, le quatrième mur est bel et bien aboli, acteurs et spectateurs partagent un espace commun, et il peut même y avoir une certaine interactivité. Sans doute les parcs à thème, les jeux vidéo avec oculus ont-ils ouvert la voie, ces dernières décennies. Pour en savoir plus sur cette forme de représentation > iciSalons du livre annulés, représentations de théâtre (pour les oeuvres dramatiques) reportées une fois, deux fois, avant d'être finalement annulées, séances de signature dans les librairies rendues impossibles, lectures publiques déprogrammées, rencontres et colloques égarés dans les méandres du distanciel...
A l'arrivée, quatre livres qui sont un peu "passés sous les radars", et sur lesquels je donne ici un petit coup de projecteur.
Les Murmures de Haute-Claire : un roman jeunesse illustré par Pierre-Yves Cézard, paru aux éditions du Sabot rouge, conseillé aux 9-14 ans. Comment un enfant ré-apprend à parler grâce à la forêt.
Contes botaniques : dix contes consacrés aux arbres (un arbre, un conte), pour tous publics, éditions d'ici et d'ailleurs. Du pin au hêtre pourpre, du tulipier de Virginie au pommier - en passant par le chêne et le tilleul, les arbres véhiculent nombre d'histoires mythologiques ou actuelles...
Tant que nos coeurs flamboient (Christophe Chomant Editeur) : un récit à la première personne qui raconte la résistance des femmes, de Louise Michel alors qu'elle est cantonnée en Nouvelle-Calédonie, jusqu'à une militante de gauche dans le Chili des années 70. Un monologue théâtral et/ou un récit. Tous publics
Veillée d'Armes : sur les plages de la mer du Nord, dans ces confins ballotés par les remous de l'Histoire, les enjeux migratoires font ressurgir des strates du passé... Editions Lansman, pour tous publics
Mais n'oublions pas non plus que la poésie obéit à un type de causalité très particulier, celui de la réaction. En chacun de ses grands moments dans l'histoire moderne, elle apparaît moins le reflet d'une situation de l'esprit, qu'une révolte à l'encontre de celle-ci. La poésie naît de sa propre carence. C'est là un fait qui justifie tout de même quelque espérance (...). Car si la carence devient extrême, peut-être la poésie débordera-t-elle ce lieu trop étroit où présentement elle se produit dans des oeuvres trop personnelles, trop peu nourries de la parole commune, et cela pour devenir à nouveau une expérience de tous".
Yves Bonnefoy, Entretiens sur la Poésie (1972-1990)
L'intérêt est toujours de proposer un parcours : séance de questions-réponses sur le métier d'écrivain, sur les métiers du livre, les métiers du théâtre, les genres littéraires, la spécificité de l'écriture théâtrale... Au fond, comment écrire ? pourquoi écrire ? pour qui ? quel est le lien entre lecture et écriture ? lectures d'extraits... Comment trouver, dans ce que j'ai écrit, des passages en résonance avec le thème de l'atelier d'écriture...
Et en symétrique, à l'issue de l'atelier, voir comment lire à voix haute les textes écrits, aller les lire dans d'autres classes, ou à la médiathèque municipale... Trouver des transversalités fécondes, au sein de l'établissement, avec les arts plastiques, la musique... Affichages, enregistrements...
Bien sûr, cet "avant" et cet "après" additionnés à la séance ou aux séances d'écriture à proprement parler représentent un peu plus de temps, d'énergie, d'engagement et de budget que simplement commander un atelier d'écriture "sec". Mais c'est nettement plus riche. On va beaucoup plus loin.Préparer les choses bien en amont (idéalement l'année précédente) peut également permettre de voir avec les tutelles comment faire rentrer la proposition dans un projet (PEPS, CREA, CDDC...). Pour ce qui est de la question du budget, que ce soit pour la rémunération ou l'éventuel achat de livres, je suis adhérent à la Maison des Ecrivains et de la Littérature, qui peut prendre en charge une partie des coûts > infos
L'année 2021 commence sous de bons auspices avec la publication de Veillée d'Armes chez Lansman. Une pièce qui avait été repérée par nombre de comités de lecture il y a quelques années, qui avait été lue en public au Théâtre du Rond-Point, ainsi qu'aux Journées claudéliennes de Brangues par les comédiens du TNP Villeurbanne (sous la direction de Christian Schiaretti), qui avait été mise en ondes sur France Culture par Jean-Mathieu Zahnd... et dont la publication aujourd'hui donnera envie, espérons-le, à un.e metteur.e en scène de la porter sur un plateau de théâtre.
L'inter-communalité d'Omaha-Isigny et ses médiathèques ont donc eu la bonne idée de filmer une représentation et de mettre en ligne la captation, publiquement, jusqu'au 25 décembre, sur sa page Facebook et sur youtube > visionner
Merci à Lorena Felei, David Jonquières, Lucie Dumaine, Jonathan Perrut, Pierre Blin et Arthur Shelton pour cette prestation artistique et technique !
Nous devions en effet nous retrouver du 13 au 15 novembre au salon L'Autre Livre, espace des Blancs Manteaux à Paris, du 18 au 22 novembre à la Ville aux Livres de Creil ainsi qu'aux assises de la lecture, et enfin du 27 à 29 novembre à Bourron-Marlotte, autour des Murmures de Haute-Claire notamment.
Ces deux derniers salons ont prévu de se reporter au printemps 2021, "si les conditions sanitaires le permettent" - selon la formule désormais consacrée...
Viennent de paraître, aux éditions D'ici et d'ailleurs, dix Contes botaniques.
Nous ne nous verrons donc pas autour de Il est interdit aux Poissons de grignoter les Pieds des Tortues ni de mes Cent Haïkus pour le Climat... Je n'aurai pas le plaisir de vous faire découvrir mes Contes botaniques que les éditions D'Ici et d'Ailleurs viennent de publier... L'année prochaine, peut-être ?
Snif. J'apprends également que le salon L'Autre Livre, espace des Blancs Manteaux à Paris, où je devais dédicacer mes Murmures de Haute-Claire, prévu du 13 au 15 novembre, déclare forfait.
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(c) François Louchet |
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Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,![]() |
photo : (c) François Louchet |