vendredi 30 décembre 2016

A voir en janvier

Au programme, pour bien commencer l'année :

- 31 décembre : En pure Perte à Avilly Saint-Léonard (60) - à domicile
- 17 janvier : Un Verger pour Mémoire (Lansman éd.) à Colmar (68), salle Europe, dans une mise en scène de Thomas Ress, Cie des Rives de l'Ill > teaser
- 20 et 21 janvier : Parade nuptiale (Librairie théâtrale éd.) à Villers-les-Nancy (54), au Théâtre de la Roële, dans une mise en scène de Célénie Crillon ;
- 22 janvier : Parade nuptiale (Librairie théâtrale éd.) à Saint-Maximin (60), à la Maison de la Pierre, dans une mise en scène de Séverine Lafforgue, Cie A vous de jouer
- 28 janvier à 20h30 : Sweet Summer Sweat à Quinsac (33), compagne Qui ne se quitte
- 2 février à 15h30 : rencontre autour de Parade nuptiale à Ma Nature, place Henri IV, Senlis
- 3 février : En pure Perte à Pontarmé (95) - à domicile
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samedi 5 novembre 2016

Blogs critiques...

Quelques blogs tenus par des spectateurs éclairés et critiques, pour orienter vos sorties et vos lectures...

- Les lorgnons d'Obéron : https://leslorgnonsdoberon.wordpress.com
- Le Wanderer : http://wanderersite.com
- Mordue de théâtre : https://mordue-de-theatre.com
- Vu sur scène : http://www.vusurscene.com

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mercredi 12 octobre 2016

Magique Pinter

A ne pas rater cet automne : L'Amant et Ashes to Ashes, du regretté Harold Pinter, deux pièces courtes intelligemment regroupées ensemble dans un même spectacle par Mitch Hooper, avec les talentueux Delphine Lalizout et Olivier Foubert.

Deux histoires de couple qui cherchent à ajuster leur relation au regard de leur rapport au monde.

D'un existentialisme moderne, d'une subtilité acérée, les deux pièces se font écho, au sein même du grand écart qu'elles proposent entre comédie de moeurs et tragédie humaine. Du grand art, à tous points de vue.

C'est au Petit Théâtre Odyssée que ça se passe, 25 rue de la Gare à Levallois, jusqu'au 16 octobre. Réservez vite au 01 47 15 74 56
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lundi 29 août 2016

Théâtre et réalité

"La différence fondamentale du théâtre contemporain avec la télé-réalité, c'est que cette dernière ne se présente pas masquée. Avec le théâtre, le travail de démystification serait donc double. D'abord débusquer - dans ces zones prétendument artistiques où l'illusion mimétique oeuvre, avec habileté, avec stratégie, sous ce qui se présente comme de l'art, voire du grand art - la mise en spectacle de la réalité. Une réalité fausse de bout en bout. Et d'autant plus fausse qu'elle multiplie les certificats d'authenticité. Humanité fabriquée, typologies factices, comme au loft et autre télé-réalité. Une pseudo-réalité se donnant pour vraie. Ensuite seulement, démonter cette pseudo-esthétique où l'idéologie recycle, sous des apparences de nouveauté, ses vieux stéréotypes et où l' "Extrême contemporain" donne parfois lieu à des clichés extrêmes".

Jean-Pierre Sarrazac, Jeux de rêves et autres détours

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jeudi 21 juillet 2016

Pour Yves Bonnefoy


Yves Bonnefoy s'est éloigné (on ne peut se résoudre à écrire qu'il s'est "éteint") le 1er juillet dernier.

Anne-Sophie Tschiegg
Il avait été d'une grande bienveillance avec moi lors de nos échanges, en 2004, lorsque je montais Roméo et Juliette au TJP Strasbourg, et que je lui avais demandé l'autorisation d'utiliser, pour le texte français du spectacle, sa traduction. Je lui avais - très maladroitement sûrement - exposé les raisons de mon choix, et en premier lieu sa fidélité à Shakespeare dans ses ouvertures polysémiques, ses oxymores, sa musicalité, son mélange de simplicité et de complexité.

Le fait également que sa traduction me parle d'emblée d’adolescence, en ce qu'elle est pure et trouble à la fois, réunissant la maîtrise de l’adulte et la fraîcheur de l’enfance. A ce titre, son utilisation de "l'alexandrin bancal" (6+5) pour introduire, au coeur du pentamètre ïambique d'origine, le double événement dramatique (les morts de Mercutio et de Tybalt) qui fait basculer la pièce, à son hémistiche, de la comédie vers la tragédie, est absolument géniale.

L'organicité de la langue aussi : Bonnefoy (à l'instar de Shakespeare) prend en compte le corps de l'acteur, dans sa respiration notamment, nous entraînant dans un entre-deux qui récapitule le verbe et la chair : la musique pure, intemporelle de la poésie d’une part, et le corps d’autre part (avec ses pulsions, ses exhortations, ses exigences) - récapitulation qui me semble être au cœur des enjeux de Roméo et Juliette (vérité des noms ou vérité des corps ?) - et évidemment, au coeur de l'acte théâtral.

Enfin, je cherchais une traduction qui ne fût pas tant axée autour des problèmes de rivalité familiale Montaigu-Capulet (qui n'était pas pour moi le plexus de la pièce), mais qui comprît le « méchant grain de plomb dans le cœur », pour reprendre la formule de Claudel, présent chez Roméo le nocturne. La traduction, mais peut-être plus encore la préface d'Yves Bonnefoy dans l’édition de Gallimard, rejoignait en plein mes préoccupations dramaturgiques et les pistes que je souhaitais suivre, particulièrement quant au « mystère Roméo » : oui, si la pièce certes est épique, elle est peut-être plus encore métaphysique en ce qu’elle nous confronte à l’opacité du cœur humain. Et c’est Bonnefoy, je crois, de tous les traducteurs qui se sont penché sur cette pièce complexe, qui a le mieux compris cela.


A réception de mon courrier malhabile, Yves Bonnefoy m'avait renvoyé, depuis le Collège de France, une lettre d'une extrême gentillesse, accompagnée de sa dernière parution, Le Nom du Roi d'Asiné chez Virgile.

Il faut relire les traductions de Bonnefoy, non seulement de Shakespeare, mais aussi de Yeats. C'est sublime.

mercredi 13 juillet 2016

1er juin des écritures théâtrales jeunesse

Depuis 2015, à l'initiative de l'association Scènes d'Enfance et d'Ailleurs, le 1er juin de chaque année est un temps fort pour faire la part belle aux textes de théâtre destinés plus spécifiquement à la jeunesse.

En 2016, les acteurs, compagnies de théâtre, libraires, bibliothèques... qui organisaient quelque chose - ce fut le cas par exemple à Liragif autour de la sortie de Tête de Linotte à l'Ecole des Loisirs - étaient invités à introduire ce moment par le texte suivant, écrit à quatre mains (ou plutôt huit !) avec mes camarades auteurs de théâtre (entre autres) pour l'enfance et la jeunesse Dominique Paquet, Catherine Verlaguet et Luc Tartar :

Chères lectrices, chers lecteurs,

Nous écrivons.
Vous lisez.
Nous sommes faits pour nous entendre.
Vous avez beaucoup à dire, nous aussi.
Partout en France, dans les théâtres, les bibliothèques, à l’école, chez le voisin, les grands, les petits, à la ville comme à la campagne, au bord de la mer, à nous tous la parole !

Toi qui habites ici, toi qui habites ailleurs,
Toi qui écris parfois, dans un cahier, sur des petits bouts de papier,
Toi qui dessines tes pensées,
Toi qui préfères jouer à la console ou courir dans les bois plutôt que lire des livres,
Toi de passage,
Toi l’oiseau migrateur,
Toi qui nourris les mésanges bleues,
Toi qui ne veux ni frère, ni sœur,
Toi qui parles cinq langues et demie,
Toi qui  chuchotes à l’oreille des chevaux en Mongolie,
Toi qui t’ennuies à longueur de journée,
Toi qui crois qu’on peut mieux comprendre la vie en allant au théâtre,
Toi qui sais que le chemin que tu prendras sera plus grand que celui qu’on te propose,
Toi le gourmand des mots, qui peux plonger dans un livre comme on plonge dans la mer,
Toi qui te piques les doigts à pêcher les oursins à Collioure,
Toi qui décroches la lune,
Toi qui scrutes le ciel pour apercevoir, une nuit, la neuvième planète du système solaire,
Toi qui sauves les grenouilles sur la D987, entre Craponne-sur-Arzon et Usson-en-Forez,
Toi qui shootes dans les pigeons du square de la mairie,
Toi qui rates toutes tes potions magiques,
Toi qui braves les frontières,
Toi qui sais compter jusqu’à 17 sans les doigts,
Toi qui te fais voler ton argent de poche par ton presque-frère,
Toi qui rêves de marcher sur Mars,
Toi qui as déjà un amoureux, une amoureuse,
Toi qui hésites entre « il » et « elle »,
Toi qui veux devenir footballeur, le plus grand, le meilleur,
Toi qui tapes le ballon, le carton, l’incruste, l’affiche,
Toi qui veux te transformer en patate de canapé,
Toi le casse-cou, l’explorateur,
Toi qui décides que la vie, c’est fait pour faire la fête,
Toi qui es venu avec ton jumeau imaginaire,
Toi qui ne sais pas si tu préfères les rêves ou les cauchemars,
Toi qui viens de perdre une dent et qui attends le passage de la petite souris,
Toi qui as peur des piqûres mais seras chirurgienne quand tu seras grande,
Toi qui te goinfres de bonbons bleus pour avoir une langue de schtroumpf,
Toi qui fais des fautes d’orthographe, qui salis tes cahiers, qui tippexes des eastpack,
Toi le petit Poucet,
Toi la Belle à tous les bois dormant,
Toi qui te dis l’enfant du vent, des animaux ou du soleil,
Toi qui collectionnes les secrets comme on collectionne les papillons,
Toi que ton meilleur ami a trahi avant-hier,
Toi qui tires la langue dès qu’on te prend en photo,
Toi qui ne tiens pas en place, toi le premier de la classe,
Toi qui cours, nages, peins, chantes, construis, rêves, siffles, ulules, rugis, soupires, exprimes, doutes, t’émerveilles, t’ensauvages à tout-va,
Cette journée est la tienne. Nous déclarons ouvert le deuxième « premier juin » des écritures théâtrales jeunesse !!!

Laurent Contamin, Dominique Paquet, Luc Tartar, Catherine Verlaguet

lundi 13 juin 2016

Fin de saison et mi-parcours

C'est la fin de la saison 2015/16 pour En pure Perte, mon monologue nomade, qui trace son chemin de crête entre littérature, théâtre et philosophie.

Une deuxième saison qui m'a permis, sur une quinzaine de dates, de toucher des spectateurs parisiens, lyonnais, essonniens, belges, isariens, axonais, alsaciens... dans des appartements, un centre de formation, une abbaye, des librairies, une salle de conférences, des bibliothèques, un ancien hôpital, un musée, des maisons...

Cité Universitaire Internationale, Paris, 7 juin 2016
Un souvenir parmi d'autres, à la maison Heinrich Heine de la Cité Universitaire de Paris où, à l'issue du spectacle, le ciel hésitait entre Sturm und Drang et le peintre Poussin... trait d'union pictural entre l'Allemagne et la France, contrepoint visuel de la rencontre, littéraire et théâtrale celle-ci, que souhaite opérer En pure Perte, depuis sa création en 2014.

Le spectacle continuera à se jouer jusqu'au 11 novembre 2018 : encore deux saisons, donc. Nous sommes à mi-parcours des années de commémoration de la Grande Guerre. Cent ans après cet affrontement sanguinaire sans précédent, je continue à confronter pacifiquement, dans un geste artistique, les cultures française et allemande, et à promener mon monologue partout où on m'accueille : "Il nous faut, dans la nuit, lancer des passerelles" (Antoine de Saint-Exupéry).

Des rendez-vous sont déjà pris à Saint-Germain en Laye et Saint-Just en Chaussée à la rentrée. N'hésitez pas à mon contacter si vous êtes intéressé(e)s pour accueillir En pure Perte.
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En pure Perte

mercredi 25 mai 2016

2 rencontres début juin

Le 1er juin à 18h, je présenterai Tête de Linotte à la librairie Liragif, square de la mairie, à Gif sur Yvette (91) à l'occasion du 1er juin des écritures théâtrales jeunesse. Le 3 juin de 16h à 18h à Senlis (60), présentation et lecture de différents extraits de pièces (toutes les infos dans le visuel ci-dessous), rencontre avec Séverine Lafforgue et la compagnie A vous de jouer qui monte Parade nuptiale.

vendredi 29 avril 2016

Un verger en Alsace

Très belle création, par Thomas Ress et la Compagnie des Rives de l'Ill, de la pièce Un Verger pour Mémoire, qu'il m'avait commandée il y a bientôt un an.

Distribution parfaite (Catherine Aulard, Virginia Danh, Nolwenn Peterschmitt, Virginia Danh), espace scénique au service du la fable qui se construit peu à peu, sculpté par les lumières de Sébastien Meyer et la création vidéo de Vladimir Lutz : des lettres animées, des croisées de fenêtres et un corps en mouvement font le lien entre passé et avenir dans le présent du théâtre, entre les branches et les racines de l'arbre familial...

En parallèle de cette création, des actions artistiques riches et sensibles ont été proposées par l'Espace 110, Centre culturel d'Illzach, comme en témoigne entre autres l'article de presse ci-dessous.

Le texte de la pièce quant à lui est publié aux éditions Lansman.


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mercredi 30 mars 2016

Juby's back !

Anne-Sophie Tschiegg
Après mûre réflexion, c'est décidé, c'est officiel : je vais reprendre Juby à partir de 2017 ! Pas dans l'espace scénique ni dans les conditions de lumière et de son avec lesquels il fut monté en 2000 au Théâtre Jeune Public de Strasbourg, mais en version "de chambre", cette fois - c'est-à-dire jouable, comme c'est le cas actuellement pour En pure Perte dont il a vocation à prendre le relais, en MJC, en bibliothèque, en librairie, en appartement...

Quinze ans après la dernière date de tournée (au Maroc - Marrakech et Casablanca), je me re-penche sur le texte. La mémoire n'a pas complètement oublié, semblerait-il. L'impression de retrouver une vieille connaissance. Le texte a quelques facilités pour rentrer... Les images de la mise en scène d'origine reviennent, des sensations, des associations d'idées ressurgissent... Il y aura quelques réajustements, quelques nouveautés aussi, dans cette re-création. Rendez-vous l'hiver prochain ! Si vous souhaitez déjà réserver une date, n'hésitez pas à me contacter.

En pure Perte pour sa part continue sa route jusqu'au 11 novembre 2018, date irrévocable de dernière.
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mercredi 9 mars 2016

Hommage

Raymond Roumégous est parti le 8 mars. J'avais eu le bonheur de le côtoyer au TJP Strasbourg, d'abord dans des lectures sur les sentiers du théâtre en Outre-Forêt (cantons de Seltz et Soultz) où nous racontions des histoires de Jack London dans une petite cabane que le Théâtre Jeune Public de Strasbourg déplaçait de bibliothèque en foyer rural... Martin Eden, Construire un Feu, l'Appel de la Forêt... Raymond et moi on voyageait dans la baie d'Hudson entre lagopèdes et orignaux...

Et puis plus tard on a partagé une autre cabane, une petite maison de bois qui descendait des cintres du théâtre, une chambre à air, dans le texte que j'avais écrit avec Grégoire Callies et que celui-ci avait mis en scène, il y jouait Léo : "Est-ce qu'une petite maison avec plein d'ouvertures, qui tournerait pour toujours prendre le vent et le soleil - quatre murs, un toit, une porte et une fenêtre grande comme l'horizon - une maison que tu pourrais agrandir comme tu veux - une maison que tu pourrais plier petit pour la mettre dans ta poche le jour où tu voudras partir... Est-ce que ça te conviendrait ?". (Chambre à Air, mise en scène Grégoire Callies). Il y jouait le rôle du père de mon personnage. On partageait bien le plateau, on s'y sentait bien, dans notre chambre à air ouverte à tous les vents, notre petit théâtre dans le théâtre où se transmettaient tant de choses...

Et d'abord sa joie, son bonheur, et le vent de son rire, de sa fantaisie, de sa légèreté, de cette capacité à ne pas se prendre au sérieux, qui était communicative.

Plus tard, il avait le projet de mettre en scène Qui a peur de Virginia Woolf ? et m'avait proposé le rôle de Nick, encore une histoire de maison, de huis clos ce coup-ci - finalement, le projet n'avait pas vu le jour, de mon côté j'ai quitté l'Alsace, on n'avait pas complètement perdu contact, on se disait qu'on se reverrait, "à l'occasion" comme on dit, à Paris ou Strasbourg... et puis voilà, on n'a plus fait "pièce commune"... Regrets. Adieu Raymond ! Salut l'artiste !


mardi 1 mars 2016

Séances de rattrapage

- La Nuit de San Lorenzo des frères Taviani
- Les Combattants de Thomas Cailley
- Le Dernier Roi d'Ecosse de Kevin Mc Donald
- Gare du Nord de Claire Simon
- Généalogies d'un Crime de Raul Ruiz
- Tous les Autres s'appellent Ali de Rainer-Werner Fassbinder
- La Femme de l'Aviateur d'Eric Rohmer
- Et toi, t'es sur qui ? de Lola Doillon
- Le Refuge de François Ozon
- Mon Trésor de Keren Yedaya
- Le Cheval venu de la Mer de Mike Newell
- Le Chignon d'Olga de Jérôme Bonnell
- Deux Jours à New York de Julie Delpy
- Le Garçon dans l'Arbre d'Arne Sucksdorff
- Etreintes brisées de Pedro Almodovar
- Juillet et La Route de Darezhan Omirbaiev
- Sils Maria d'Olivier Assayas
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vendredi 5 février 2016

Retour en images sur la résidence au LSCE








Merci aux chercheurs, ingénieurs de recherche, postdoctorants, et à toutes les personnes du Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement qui se sont investi(e)s durant ma résidence en marge de la COP21... Et maintenant, à mon stylo et à mon cahier, et rendez-vous au printemps !
Photos : (c) Nada Caud

mardi 26 janvier 2016

La petite Marchande d'Histoires vraies

J'ai le plaisir de vous annoncer la publication de La petite Marchande d'Histoires vraies, une pièce de théâtre à partir de 3 personnages, écrite par le biais d'une commande de la compagnie L'Echappée, qui fait se rencontrer deux univers à première vue aux antipodes l'un de l'autre : celui des contes d'Andersen (et notamment La petite Fille aux Allumettes) et celui d'un camp de réfugiés en Irak, à notre époque. En savoir plus sur la pièce > ici

Le livre est paru aux éditions Christophe Chomant, au prix de 14 euros.


On peut se le procurer en librairie, on peut également le recevoir directement dans sa boîte aux lettres, en envoyant un chèque de 16,80 euros (14 euros + frais de port) à la compagnie L'Echappée, 7 rue Antoine Écuyer 02100 Saint-Quentin, ou encore en le commandant directement chez l'éditeur > commander

Quant au spectacle, les premières représentations en 2016 ont lieu en Picardie, à savoir du 22 au 26 février à Saint-Quentin (02), les 2 et 3 mars à Montataire (60), du 23 au 25 mars à Chateau-Thierry (02), du 20 au 22 avril à Laon (02), les 25 et 26 avril à Villers-Bocage (02), les 28 et 29 avril à Corbie (80). Une reprise est d'ores et déjà prévue à l'automne 2016.
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jeudi 21 janvier 2016

Une journée à Laon

Une journée à Laon, dans l'Aisne, qui m'accueille cette saison pour un programme de création et d'action artistique, en tant qu'auteur associé.

Première journée de ce parcours, donc, le 20 janvier : en matinée, atelier d'écriture slam avec les CM1 de l'école Lafontaine, premier d'une série d'ateliers dans le cadre d'un CLEA formalisé entre la Compagnie L'Echappée et la Maison des Arts et Loisirs de Laon.

L'après-midi, répétitions de La petite Marchande d'Histoires vraies à la MAL, réalisation du décor vidéo du spectacle (le spectacle s'y jouera les 20-21 avril, après sa création en février à Saint-Quentin).

Et le soir, En pure Perte dans la belle chapelle de l'abbatiale de l'ancien hôpital, aujourd'hui bibliothèque Suzanne Martinet. Merci à la Compagnie L'Echappée et au service culturel de la ville de Laon pour l'accueil chaleureux et efficace.
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