lundi 13 juin 2016

Fin de saison et mi-parcours

C'est la fin de la saison 2015/16 pour En pure Perte, mon monologue nomade, qui trace son chemin de crête entre littérature, théâtre et philosophie.

Une deuxième saison qui m'a permis, sur une quinzaine de dates, de toucher des spectateurs parisiens, lyonnais, essonniens, belges, isariens, axonais, alsaciens... dans des appartements, un centre de formation, une abbaye, des librairies, une salle de conférences, des bibliothèques, un ancien hôpital, un musée, des maisons...

Cité Universitaire Internationale, Paris, 7 juin 2016
Un souvenir parmi d'autres, à la maison Heinrich Heine de la Cité Universitaire de Paris où, à l'issue du spectacle, le ciel hésitait entre Sturm und Drang et le peintre Poussin... trait d'union pictural entre l'Allemagne et la France, contrepoint visuel de la rencontre, littéraire et théâtrale celle-ci, que souhaite opérer En pure Perte, depuis sa création en 2014.

Le spectacle continuera à se jouer jusqu'au 11 novembre 2018 : encore deux saisons, donc. Nous sommes à mi-parcours des années de commémoration de la Grande Guerre. Cent ans après cet affrontement sanguinaire sans précédent, je continue à confronter pacifiquement, dans un geste artistique, les cultures française et allemande, et à promener mon monologue partout où on m'accueille : "Il nous faut, dans la nuit, lancer des passerelles" (Antoine de Saint-Exupéry).

Des rendez-vous sont déjà pris à Saint-Germain en Laye et Saint-Just en Chaussée à la rentrée. N'hésitez pas à mon contacter si vous êtes intéressé(e)s pour accueillir En pure Perte.
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En pure Perte