René Balavoine |
Quelle meilleure manière, de la part d'un Français d'aujourd'hui qui veut célébrer le centenaire de la "Grande Guerre", que de rendre hommage à la culture allemande ?
En relisant ces trois auteurs, en en traduisant des extraits avec l'aide d'Olivier Loeffler, en questionnant leur vision du monde par ma propre écriture, je suis arrivé à un texte que j'ai appelé En pure Perte, texte que j'ai appris, ingurgité... et qui aboutit maintenant à une petite forme contée, construite sous l'oeil attentif de Mathieu Couzinié-Maguelon.
En relisant ces trois auteurs, en en traduisant des extraits avec l'aide d'Olivier Loeffler, en questionnant leur vision du monde par ma propre écriture, je suis arrivé à un texte que j'ai appelé En pure Perte, texte que j'ai appris, ingurgité... et qui aboutit maintenant à une petite forme contée, construite sous l'oeil attentif de Mathieu Couzinié-Maguelon.
Ce conte philosophique est appelé à se jouer absolument partout : en appartement, en bibliothèque, dans un jardin, un lycée, un café, un local d'association, un grenier, une librairie... à partir d'une quinzaine de spectateurs (tout public à partir de 15 ans).
N'hésitez pas à me contacter pour en savoir plus (en cliquant sur le bouton "contact" de mon site).
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